Un projet écologique intéressant
Lors de l’édition 1996, Raphaël Dinelli est de ceux qui ont vu leur fin proche. Sa silhouette accrochée debout sur son bateau retourné qui coule sous ses pieds a marqué les esprits. Tout comme son sauvetage héroïque par Pete Goss.
Malgré une telle mésanventure, il repart en 2000 mais n'est pas classé car un choc avec une baleine l'oblige à faire escale.
En 2004, il termine 12ème.
Pour cette édition, il repart à bord cette fois d’un bateau-laboratoire entièrement dédié aux énergies renouvelables. Il veut tester dans des conditions extrêmes les matériaux et les équipements les plus efficaces pour protéger la planète.
Vent et soleil vont alimenter en électricité le pilote automatique et les équipements de bord indispensables à une telle course autour du monde (au lieu de plusieurs centaines de litres de gazoil).
Il embarque notamment une éolienne verticale qu’il a mise au point et qui devra résister aux vents violents de l’hémisphère Sud.